En Crise (extraits) - Livre Poétique de Nycéphore 1964-1984 Poème n°29
Date du document : 23 Mars 1965
Date du document : 23 Mars 1965
Date du document : 1965
Ce poème fait pendant à Le Rêve de l’Œil Mort dans le Livre Poétique de Nicolaï.
I. Revay
27. Dimanche en Hiver
Tranquille enthousiasme à falloir
Qui colle mon œil mort pleurant.
Chassons les ombres des couloirs
Gouvernant des délicatesses
Où les lettres grattées sont grises.
Dans les dimanches d’hébétude
Des abrutis y scient des planches,
Bouffées pliées de galon vert ;
On transporte des billes noires ;
Buvards, lœthé, après-midis.
etc…
Date du document : 1965
Ce poème de 40 vers fait pendant chez Nicolaï à Mon Dragon_, poème de la même longueur_.
I. Revay
26. Du Lycéen
Oh ! Notre voie au tombeau sale,
Officielle en quelque portion ;
Cercles de la malédiction,
Tonneau puant qui nous dévale.
Date du document : 1965
Ce poème fait pendant chez Nicolaï à Ave Maria d’un Domini_, de la même longueur._ I. R.
24. Asile
Haine du draconcule au fond des établis ;
Puis en sortant devant les terrasses : gentianes,
Surprises des pensées aux souffles affaiblis,
Apodes hors des crasses à ramper. Ô campanes ! [………………………………………………]
Date du document : 1965
Ce poème de 91 vers fait pendant à Prière Acceptable dans le Livre Poétique de Nicolaï. I. Revay Noël
Arrière les Lucifériens,
Saprémie de poisons putrides !
Dans les sentes de cuir humide
On se désoriente d’un rien.
On vient de choisir le sapin
Bien loin des parcs à escargots
Chez Gootfried, le Tristan des Goths,
En Alsace, avec des grappins
etc.
Date du document : 1983
Date du document : 1983
Date du document : 1983
Il existait trois variantes de ce dessin, aujourd’hui perdues.
I. Revay
Date du document : 1983
À ce poème de 108 vers de Nycéphore répond dans le Livre Poétique de Nicolaï Catéchèse.
I. Revay
29. En Crise
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Les fastes de l’égorgement
D’une truie blanche dans la cour ;
Sous nos yeux son débordement
De vanne atroce sans secours.
L’enfer dans une faille vide,
Le hurlement populacier ;
Dans une carène d’acier
L’horreur toute neuve sans ride.
Les cadavres en rangs serrés
Que l’on projette en bas des pentes ;
Et puis tout seul ce vieux sacré :
Astapovo : fièvre quarante !
etc.