À la mort soudain se cabre le cheval (chapiteau Le voyage des mages, cathédrale Saint-Étienne, 2ème tiers du XIIème siècle)
Plus rapide que Rakhsh à la lisière des sables, je cherche des yeux celui qui aime sa tristesse. Il se cache et craint l’assouvissement, je le cherche pourtant et lui apporte des vêtements, mais il fuit loin de tout, celui qui… Où est-il, sous l’olivier sec dont l’ombre abrite si peu, à genoux dans les mottes épuisant ses forces, abandonné de tous. On lui crache dessus mais ses pleurs lavent l’outrage, dit-il.
À la mort soudain se cabre le cheval (chapiteau Le voyage des mages, cathédrale Saint-Étienne, 2ème tiers du XIIème siècle) Plus rapide que Rakhsh à la lisière des sables, je cherche des yeux celui qui aime sa tristesse. Il se cache et craint l’assouvissement, je le cherche pourtant et lui apporte des vêtements, mais il fuit loin de tout, celui qui… Où est-il, sous l’olivier sec dont l’ombre abrite si peu, à genoux dans les mottes épuisant ses forces, abandonné de tous. On lui crache dessus mais ses pleurs lavent l’outrage, dit-il.
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