Des deux côtés de la route modeste : aceituneros, gaditans.
Plus loin : le cantaor,
Trou frais du soleil dans la toile ;
Gammes de l’ombre, noisetiers.
Tremblante de lentejuelas de oro,
Sa voix de Málaga !
Plus de cortèges à travers les volets
Ni sur les terrasses,
Dès qu’il chante ;
Sucs du vent et chaos des restes.
Carrés de pins, lignes de craies,
Virgules d’encre sur les ciments, vers la mer.
L’aveugle de loterie cesse les secouades sèches de sa sébile
De fer blanc, sur le trottoir.
B. Cádiz
Des deux côtés de la route modeste : aceituneros, gaditans.
Plus loin : le cantaor,
Trou frais du soleil dans la toile ;
Gammes de l’ombre, noisetiers.
Tremblante de lentejuelas de oro,
Sa voix de Málaga !
Plus de cortèges à travers les volets
Ni sur les terrasses,
Dès qu’il chante ;
Sucs du vent et chaos des restes.
Carrés de pins, lignes de craies,
Virgules d’encre sur les ciments, vers la mer.
L’aveugle de loterie cesse les secouades sèches de sa sébile
De fer blanc, sur le trottoir.