Joie, joie, belle étincelle (Schiller, Goethe, Ono No Komachi)
Qui chevauche sans bruit à l’aurore d’un jour, qui va joyeusement par un matin radieux, qui fait tinter les boucles du harnais, et qu’entends-on dans le feuillage des bois, c’est la rivière au bruit de gravier fin, nous y prendrons un bain, dépêche-toi, je veux sentir ta main... Le chemin est étroit ainsi cheminent-t-ils l’un derrière l’autre, la chaleur monte parmi les fougères et les herbes hautes qui penchent sous la rosée et mouillent leurs chausses.
Joie, joie, belle étincelle (Schiller, Goethe, Ono No Komachi)
Qui chevauche sans bruit à l’aurore d’un jour, qui va joyeusement par un matin radieux, qui fait tinter les boucles du harnais, et qu’entends-on dans le feuillage des bois, c’est la rivière au bruit de gravier fin, nous y prendrons un bain, dépêche-toi, je veux sentir ta main... Le chemin est étroit ainsi cheminent-t-ils l’un derrière l’autre, la chaleur monte parmi les fougères et les herbes hautes qui penchent sous la rosée et mouillent leurs chausses.
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