— J’ai très simplement tendance à considérer les postures comme une modulation plutôt que comme des moules fixes.
Une série de variantes déployées dans un cercle qui va, disons, de zen-kutsu à kiba-dachi, chacune représentant un angle différent.
S’il est facile de saisir pour un pratiquant le glissement dans un sens ou l’autre entre nekko-achi-dachi et ko-kutsu-dachi, cela peut être aisèment étendu (et pour ma part je l’ai fait) en gardant trois constantes : position verticale du tibia, position à demi avancée, le genou surplombant la moitié du pied ou position avancée genou au-dessus du gros orteil.
— J’ai très simplement tendance à considérer les postures comme une modulation plutôt que comme des moules fixes.
Une série de variantes déployées dans un cercle qui va, disons, de zen-kutsu à kiba-dachi, chacune représentant un angle différent.
S’il est facile de saisir pour un pratiquant le glissement dans un sens ou l’autre entre nekko-achi-dachi et ko-kutsu-dachi, cela peut être aisèment étendu (et pour ma part je l’ai fait) en gardant trois constantes : position verticale du tibia, position à demi avancée, le genou surplombant la moitié du pied ou position avancée genou au-dessus du gros orteil.