Il y a toujours un grand bonheur aphoristique : celui de partir avant de développer, ou de cristalliser et de fuir. De fouetter plutôt que d’enserrer en risquant contraindre.
Même si Stéphane Breton (dont je ne sais rien, pas même son âge), m’en veut de le réduire de cette manière, c’est avec cette sorte d’emportement de non-philosophe que je l’ai lu, les branches brisées derrières soi, les feuilles ouvertes, désas- tre ou apocalypse, mais l’univers encore heureusement frais de ses blessures comme on est à vingt ans.
à propos de Rhizomatique de Stéphane Breton
Il y a toujours un grand bonheur aphoristique : celui de partir avant de développer, ou de cristalliser et de fuir. De fouetter plutôt que d’enserrer en risquant contraindre.
Même si Stéphane Breton (dont je ne sais rien, pas même son âge), m’en veut de le réduire de cette manière, c’est avec cette sorte d’emportement de non-philosophe que je l’ai lu, les branches brisées derrières soi, les feuilles ouvertes, désas- tre ou apocalypse, mais l’univers encore heureusement frais de ses blessures comme on est à vingt ans.
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