Onuma : Portrait Noir
Date du document : après 1984
![Onuma : Portrait Noir](/files/Onuma_PortraitNoir.jpg)
Date du document : après 1984
Date du document : 1969
(Brouillon de pluie)
On nommera comme il faut la pluie
A barres creuses;
La même courbe aponctue
Ce germœuf à la carrée,
Ces cours qu’on trisse
Et l’allieu à propre le french-ship.
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Date du document : 1984
Pour son projet sur les Enfants Croisés, Jean s’était largement inspiré des Portes du Paradis d’Andrzejewski, livre que lui avait fait connaître Lydou en même temps que Cendres et Diamant ; il avait vu également les deux films de Wajda qui en avaient été tirés. Il avait donc demandé en novembre 1975 à Tourangeau et Don Jujus de venir l’aider pour les repérages à Tours, bien qu’il ne les aimât guère, car ils étaient natifs de ce pays de marais et pourraient l’aider à se dépêtrer des miasmes.
Tourangeau surtout possédait une aimable demeure tourangelle située sur les bords d’un affluent de l’Indre au centre d’un domaine de cinq cents hectares, dont une partie des granges pouvait être aménagée en studio, avec un pavillon des Quatre-Saisons vitré de rouge, de bleu, de jaune et de vert, pour abriter les accumulateurs, les dynamos, les projecteurs, tout le matériel électrique et toute la régie.
Il y avait paraît-il des traces de passage des Enfants Croisés depuis Vendôme, du côté du Dolmen de La Roche aux Fées et de la Colonie Pénitentiaire de Mettray ; certains étaient passés par Château-la-Vallière et la route du Mans et d’autres étaient venus de Beauchêne, du Plessis-Puçay, du Thouard ou encore de Chastillon sur Indre.
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Date du document : Toussaint 1957
Date du document : 1976
Date du document : Novembre 1957
Date du document : 1917
Élément à propos de la recherche d’Ossip en Russie par Don Luis Perenna et du lien de ce dernier avec l’héritage de Colomb par Don Qui.
NDLR
Date du document : 1946
Cabrero, qui devint un bon boxeur professionnel, était le compagnon de Lulu. On se reportera à l'historique des Tribus, pour les détails. NDLR
Date du document : 1946
Lulu est ici à droite, quelques mois avant sa mort, avec sa copine Janine à gauche. On se reportera à l'historique des Tribus, pour les détails.
NDLR
Date du document : 1972
Ce texte a été repris dans la partie Schola de l’Ourcq des États du Monde (Ligne des Escholiers Primaires. Ligne de Didier. Saison de la Terre. )
« Toutes deux sont aimantées par la clairière vers ce presbytère qui date d’avant la Révolution : CH. avec son hoquet sur le chaos de ses verbigérations, et L. Après un long piétinement autour du puits comblé de barreaux de chaises pris d’un désordre fourchu, cela nous semble un entassement au moins aussi insubmersible dans l’esprit amiral, une impossibilité esthétique de liens, de passages, d’adoucissements, que le vrac de notre arrivée dans cette situation. Notre rencontre à trois est aussi brute que cet hétéroclite-là, pensées de petits bois griffus et impraticables ; la parole qui aurait pu nous lier a fait défaut, et le hoquet monstrueux de CH. nous interdit toute tentative. Après le passage de la ligne de crête calcinée, nous nous sommes retrouvés au hasard des souffles des rues, puis au fond du couloir de la Vallée, dans les manies qui nous emportent, moi abruptement au bord de ces toutes deux viandes, qui ne sont pas sœurs. »
Le temps d’extase de la cantatrice, l’élancement des reins dans la reprise du morceau, la visite inattendue et bavarde, le vol de la claque dans les dorsaux de l’haltérophile et sa conséquence ici à plat, voilà qui est agréable à qui sait parler par métaphores.
Mais ce n’est pas dans cette sorte de roman absolu que nous abonderons, hélas !