Christophe Bouchet Grave
Date du document : Juin 1980
Date du document : Juin 1980
Date du document : 1980
Date du document : 1978. New York
Date du document : 1978. New York
Date du document : 1978
Date du document : 1980
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Date du document : Printemps 1979
Le chemin du Paradis se trouve en face de l’Enfer de Mettray, en Touraine.
NDLR
À Didier Morin & Bernard Plossu.
Date du document : 1974
Maison Lulu est ce recueil de 1974 construit autour de l’Asile de Maître Jean (où traînent entre autres Tatie Marguerite, Fernande du Phœnyx et l’ignoble infirmière Ovarine…), et du Cimetière de la Chartreuse, entrée discrète du Pays des Morts. Le sergent Newton et le lieutenant Copernic sont là avec leur Thunderbird orangée, qui mènent l’enquête à propos des idéogrammes fourchus buissonnant à travers une grande partie du monde. Le premier chapitre en a été jadis publié dans la revue Le Grand Os n°2.
NDLR
Date du document : 1989 & 1996
Et voilà ce qu’en dit Nycéphore :
“Quatre heures du matin, l’été, nuages dans la rivière. Profiter au maximum des espèces qu’on a : l’ombre, les jalousies, le Katalpa… l’eau enfin distribuée si amoureusement ; défaire l’engoncement dramatique, avant Midi !
L’Enfance côté du trottoir dans ses villes, nouvelles antiennes : ses objets successifs devant soi. Rue Verte, sous le marronnier rose, assis sur le banc des douze ans, et de là multitudes de scènes : dans chacune je m’assois et je suis. Merles, fracas des sensations ! Chèvrefeuille, abîme insondable ; si nous ne pouvons rien savoir de l’énigme, disons-la, simplement, stagnons, auprès des essences. Poésie : retenue, celui qui ment tire l’odeur des roses vers la prose, vous savez ?
Moïse de bois doré sans être furieux, formidables senteurs : arums au printemps, proches du fenouil, mimosa des morts à Saint-Augustin, avec l’Idiote dans l’Église. Bonheur incompréhensible absolu (compression atroce des vitraux ; puis vitraux de nouveau dispersés au ciel, aux champs, aux temps), liseron sans odeur de la Préservation : les orgues de Dieu canonnent quand les moissons !
Ils canonnent les rues du Cancéra, du Pas-Saint-Georges, près de chez Nénette et Norbert Perez, devant les tissus Bordenave, chez Maïté (de Manolo), la rue Maucoudinat (suivante à gauche, son puits de Bahutiers, sa Truye qui file), rue Buhan, rue des Boucheries où bouchers, tripiers et crabiers bombardent le bar-tabac rouge de Saint-James de bestes mortes, trippes, laveures, bouillons puants et chairs filantes en contrebas de l’éblouissement du soleil et du courant d’air frais conjugués sous la Grosse Cloche de Saint-Éloi où Siona chante La Juive.
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Ce texte fut jadis dédié à Bernard Manciet avec lequel il y eut une brêve correspondance, et publié dans une feuille locale de Bordeaux.
I. Revay
Date du document : 1976
Brouillon résiduel d’une suite probable (assez longue : ici p. 437) de l’épopée de Martin Zoo Outis, dont un récit : CylindreObscur, figure dans OGR, version maigre.
Cette suite abandonnée était surtout fourmillante de plans, presque à chaque page.
I. Revay
À Bernard Plossu.