Cent Cibles : Mao de dos et sa fille - Acrylique blanc sur Cible 21 x 21cm pour carabine 50m
À Philippe Didier.
À Didier Morin.
Les Cent-Cibles font partie de l’exposition des États du Monde à l’URDLA du 4 février au 13 avril 2012.
NDLR
Les Cent-Cibles sont liées à la discipline du tir (aussi bien tir traditionnel que Kyudo dans le cadre de la Cellule Sabaki), mais également au Pays des Morts ; de là cette blancheur de spectre des dessins. Sans oublier cette autre hantise de Cozens avec sa typologie aussi restreinte des paysages que celles des métaphores pour Borgès.
Les dessins sont re-composés à partir de milliers de petits croquis (ceux-ci parfois combinés ensemble, juxtaposés : aboutissant à des perspectives et des points de fuite “hasardeux et fantaisistes”) pour s’approcher au mieux des visions de rêve du Pays des Morts (contrée féerique et communiquant une exaltation peu commune du côté de “la porte des shen”), dont on explore à chaque fois un nouvel endroit et dont il est possible d’établir une Carte assez précise : avec d’un côté de magnifiques gares baroques et des réseaux ferrés infinis à partir de points de vue redoutablement vertigineux (à l’image de Little Nemo), de l’autre une “schizocité” avec sa rue principale gorgée de cinémas, ailleurs des paysages montagneux, des lacs, etc. Et bien sûr différentes entrées et voies d’accès, malgré le fait qu’il y en ait une de priviliégiée.
O. N.
Date du document : 1984
Un des marins des aventures de Don Qui Domingo, au début de la Cosmologie, proche du Carpintero de la Niña.
Cette série de Cent Cibles, semblable (selon l’auteur) à une suite de “Calendriers des Postes”, s’apparente à d’autres travaux de gravure au fusil des années 80 et à des gravures sur arbre vivant (émergence des figures de divinités à travers l’écorce).
_NDLR
Celle-ci est à Claire Viallat_
Aux Sapet.
Aux Tristram.
À Sylvie Planche.
Aux Tristram.
À Gérard Métral.
À Marc Giloux.
À Vincent Compagny.
Cette série de Cent Cibles, semblable (selon l’auteur) à une suite de “Calendriers des Postes”, s’apparente à d’autres travaux de gravure au fusil des années 80 et à des gravures sur arbre vivant (émergence des figures de divinités à travers l’écorce).
NDLR
Celle-ci est à Dominique Abensour.
Date du document : 1983
Date du document : 1983
Date du document : 1983
À l’URDLA.